sept douleurs et allégresses de Saint Joseph
sept douleurs et allégresses de Saint Joseph
Saint Joseph, par cette douleur et par cette allégresse, nous vous supplions de nous obtenir la Gloire du Paradis !
Ô très chaste Époux de Marie, glorieux saint Joseph, quelles ne furent pas l’affliction et l’angoisse de votre Cœur, dans la perplexité où vous étiez de savoir s’il fallait abandonner votre épouse sans tache ! Mais aussi quelle ne fut pas votre allégresse, quand l’Ange vous révéla le grand mystère de l’Incarnation ! Nous vous prions, par cette douleur et par cette allégresse, de consoler notre cœur à présent et dans nos dernières douleurs, par la joie d’une bonne vie et d’une sainte mort, semblable à la vôtre, entre Jésus et Marie.
Récitez une fois les prières suivantes : Pater Noster + Ave María + Glória Patri
Saint Joseph, par cette douleur et par cette allégresse, nous vous supplions de nous obtenir la Gloire du Paradis !
Ô bienheureux Patriarche, glorieux saint Joseph, choisi pour être le père nourricier du Verbe fait homme, la douleur que vous avez ressentie en voyant naître l’Enfant Jésus dans une si grande pauvreté, se changea subitement en une joie céleste, devant l’harmonie des concerts angéliques et la contemplation des merveilles de cette nuit resplendissante. Nous vous supplions, par cette douleur et par cette allégresse, de nous obtenir, après cette vie, d’aller entendre les louanges angéliques et jouir des splendeurs de la Gloire céleste.
Récitez une fois les prières suivantes : Pater Noster + Ave María + Glória Patri
Saint Joseph, par cette douleur et par cette allégresse, nous vous supplions de nous obtenir la Gloire du Paradis !
Ô très obéissant observateur des Lois divines, glorieux saint Joseph, le Sang Précieux que le Rédempteur enfant versa dans la circoncision, vous transperça le Cœur ; mais le Nom de Jésus qu’Il reçut alors vous rendit la vie, en vous comblant de joie. Obtenez-nous, par cette douleur et par cette allégresse, de vivre éloignés de tout péché, afin d’expirer joyeux avec le très saint Nom de Jésus dans le cœur et sur les lèvres.
Récitez une fois les prières suivantes : Pater Noster + Ave María + Glória Patri
Saint Joseph, par cette douleur et par cette allégresse, nous vous supplions de nous obtenir la Gloire du Paradis !
Ô saint très fidèle, le Confident des mystères de notre rédemption, glorieux saint Joseph, si la prophétie de Siméon, concernant les souffrances que devaient endurer Jésus et Marie, vous occasionna une douleur mortelle, elle vous combla aussi de joie, en annonçant en même temps le Salut et la glorieuse Résurrection qui devaient en résulter pour un grand nombre d’âmes. Obtenez-nous, par cette douleur et par cette allégresse, d’être du nombre de ceux qui, en considération des Mérites de Jésus et de l’intercession de la Bienheureuse Vierge Marie, doivent ressusciter glorieusement.
Récitez une fois les prières suivantes : Pater Noster + Ave María + Glória Patri
Saint Joseph, par cette douleur et par cette allégresse, nous vous supplions de nous obtenir la Gloire du Paradis !
Ô Gardien très vigilant, Ami intime du Fils de Dieu incarné, glorieux saint Joseph, combien n’avez-vous pas souffert pour nourrir et servir le Fils du Très-Haut, particulièrement dans votre fuite en Égypte ! mais aussi quelle ne fut point votre joie d’avoir toujours ce Dieu avec vous et de voir renversées les idoles d’Égypte ! Par cette douleur et par cette allégresse, obtenez-nous d’éloigner à jamais de nous le tyran des enfers, surtout par la fuite des occasions dangereuses, et de renverser dans notre cœur toute idole des affections terrestres, afin qu’entièrement occupés à servir Jésus et Marie, nous vivions uniquement pour eux et mourions dans la joie de leur Amour.
Récitez une fois les prières suivantes : Pater Noster + Ave María + Glória Patri
Saint Joseph, par cette douleur et par cette allégresse, nous vous supplions de nous obtenir la Gloire du Paradis !
Ô Ange de la terre, glorieux saint Joseph, qui avez pu admirer, soumis à vos moindres volontés, le Roi du Ciel ; si la joie de Le ramener d’Égypte fut troublée par la crainte d’Archélaüs, bientôt, rassuré par l’Ange, vous fûtes heureux de demeurer à Nazareth avec Jésus et Marie. Obtenez-nous, par cette douleur et par cette allégresse, d’écarter de notre cœur toute crainte nuisible, de posséder la paix de la conscience, de vivre contents avec Jésus et Marie et de mourir aussi avec Eux.
Récitez une fois les prières suivantes : Pater Noster + Ave María + Glória Patri
Saint Joseph, par cette douleur et par cette allégresse, nous vous supplions de nous obtenir la Gloire du Paradis !
Ô Modèle de toute Sainteté, glorieux saint Joseph, ayant perdu sans votre faute l’Enfant Jésus, vous L’avez cherché pendant trois jours, plongé dans une douleur profonde, jusqu’au moment où, plein de joie, vous avez retrouvé dans le Temple, au milieu des docteurs, Celui qui était votre Vie. Par cette douleur et par cette allégresse, nous vous supplions, de cœur et de bouche, d’intercéder en notre faveur, afin qu’il ne nous arrive plus de perdre Jésus par quelque faute grave. Si nous avions cet immense malheur, faites que nous Le cherchions avec une douleur qui ne nous laisse pas de repos jusqu’à ce que nous Le retrouvions favorable, surtout à notre mort, afin d’aller Le posséder au Ciel et d’y chanter éternellement avec vous Ses divines miséricordes.
Récitez une fois les prières suivantes : Pater Noster + Ave María + Glória Patri
« Considérons quels sentiments de tendresse et de vénération saint Joseph avait pour la Bienheureuse Vierge Marie.
À la bonté la plus accomplie Elle joignait la plus profonde humilité, la plus aimable douceur, la plus complète pureté, la plus parfaite obéissance, le plus généreux amour de Dieu ; élevée de la sorte par ses incomparables qualités au-dessus de tous les hommes et de tous les anges, Marie méritait l’affection de saint Joseph, et saint Joseph, pour qui la vertu avait tant de charmes, aimait Marie de tout son coeur. D’autant plus qu’il recevait incessamment les marques de l’affection dont sa sainte épouse était animée pour lui ; nul doute, en effet, qu’elle n’aimât son chaste époux plus que n’importe quelle autre créature.
Enfin, il voyait dans Marie la bien-aimée de Dieu, celle que le Seigneur avait choisie pour Mère de Son Fils unique. Combien donc le Cœur si juste et si reconnaissant de Joseph devait aimer sa pure et admirable épouse !
Considérons ensuite l’amour que Joseph portait à Jésus. Dieu ne pouvait charger Joseph de tenir lieu de père à Jésus sans lui mettre au coeur l’amour dont il fallait qu’un père fût animé pour un tel Fils, un Fils si digne d’amour, un Fils qui était en même temps son Dieu. Aussi l’amour de Joseph, fort différent de celui que les pères ont d’ordinaire pour leurs enfants, ne fut pas seulement naturel, mais encore surnaturel, Jésus étant tout à la fois et le fils de Joseph et son Dieu.
En effet, grâce à la révélation apportée du Ciel par l’Ange, saint Joseph savait de science certaine que cet Enfant, dont la vie s’écoulait près de lui, était le Verbe divin fait homme par amour pour les hommes, et en particulier pour lui, son père nourricier. Il se voyait choisi entre tous pour lui servir de Gardien et de Protecteur, en même temps qu’il L’entendait lui dire : Mon père.
Quel incendie d’amour ne devait pas allumer dans l’âme du saint patriarche la considération de ces merveilles ! De quelles flammes d’amour il se sentait brûler lorsqu’il voyait son Dieu faire l’office d’un simple ouvrier, ouvrir et fermer l’atelier, aider à scier le bois, manier le rabot et la hache, ramasser les copeaux, balayer la maison, en un mot accomplir exactement tous ses ordres et n’agir jamais que par obéissance.
Quels sentiments de tendresse inondaient son âme quand il portait l’Enfant Jésus dans ses bras et que tous deux se témoignaient leur amour par les plus douces caresses, quand il L’entendait proférer ces paroles de vie éternelle dont chacune était comme une flèche d’amour qui lui perçait le cœur, mais surtout quand il voyait donner l’exemple de toutes les plus sublimes vertus !
Parmi les hommes, à force de vivre ensemble, on finit d’ordinaire par n’avoir plus l’un pour l’autre qu’un amour fort médiocre, parce que, au fur et à mesure que les relations durent, on découvre davantage les défauts l’un de l’autre. Saint Joseph, au contraire, ne cessait, en continuant de vivre avec Jésus, d’admirer davantage Sa Sainteté. Comprenons par là de quel amour il parvint à brûler pour Lui, cette vie d’ineffable intimité n’ayant pas duré, selon le sentiment commun, moins de vingt-cinq ans.
Grand saint Joseph, je me réjouis que Dieu vous ait jugé digne d’occuper ce poste éminent où, constitué le père de Jésus, vous avez vu se soumettre à votre autorité Celui dont le Ciel et la Terre exécutent les ordres. Puisqu’un Dieu voulut vous obéir, moi je veux me mettre à votre service.
Oui, je veux désormais vous servir, vous honorer et vous aimer, comme mon Seigneur et Maître. Daignez m’accepter au nombre de vos clients ; ensuite commandez-moi tout ce que vous voulez. Quoi que vous m’ordonniez, ce sera, je le sais, pour mon plus grand bien et pour la Gloire de Jésus, mon Rédempteur et le vôtre.
Mon bien-aimé saint Joseph, soyez mon intercesseur auprès de Jésus. Il vous a si fidèlement obéi sur la Terre ; certainement Il ne rejettera jamais aucune de vos prières. Dites-Lui donc qu’Il me pardonne toutes les offenses dont je me suis rendu coupable contre Lui. Dites-Lui qu’Il me détache des créatures et de moi-même et qu’Il m’enflamme de son Amour ; puis qu’Il fasse de moi tout ce qui Lui plaît. »
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